Étaient présent :
Daniel Poulin
Julie Therrien
Pierre-Luc Lavoie
et M. Therrien qui nous a fait une navette pour se rendre à la mise à l'eau pour nous éviter le covoiturage du soir.
À ce sujet, partir du camping et passer par la 169, sa prend 1 heure. Pour le chemin comme tel, 99 % du chemin pourrait être effectué avec une voiture sans problême, le hic, c'est le 1 % qui reste. À environ 1.5 kilomêtres de la mise à l'eau, il y a une côte passablement difficile. Nous avons essayé de la monter en mode 2*4 et ce fut un echec. Pour monter la côte, sa prend impérativement un 4x4 et une bonne garde au sol car il y a de bonne roches. Probablement qu'un RAV4 ou un CRV serait capable de monter la côte, mais il pourrait avoir des risques de bris mécanique s'il passe sur les roches ou égratigner la peinture s'il fait le tour. Bref, sa prend un vrai 4x4 pour pas prendre de risque.
Alors pour la sortie de fédé, on oublie de passer par là, en plus que y'a pas grand place pour virer un éconoline avec un trailer.
Au courant de la semaine, je vais allé marqué le chemin pour passer par la 175. On va allonger la navette de 15 minutes environ, mais on risque moins de problême. De plus, sa va racourcir la descente de 2 kilomêtres environ car la mise à l'eau est où le nouveau pont. Les 2 km perdu ne sont pas une grosse perte, c'est juste du RI - II.
Pour la rivière maintenant, elle était à 36.5 pour la pikauba et 30.1 pour la écorces sur info-fébit.
La journéé s'est bien déroulée, le nouveau portage est très apprécié, mais il faut faire attention car les roches sont glissantes. Après la chute, nous sommes arrivés sur le RIV et nous l'avons cordelé pour ne pas prendre de chance. Mais probalement qu'il se passe par la gauche.
Avant la chute #2, du beau RII-III. Sa descend bien et la lecture des rapides est assez facile.
Arrivé à la chute # 2, on a eu de la misère à effectuer le portage, c'est pas évident.
Après sa, viens l'arrivé à la jonction de la rivière aux écorces, la le fun commence, les RII deviennent des RIII (des vrais RIII). Faut éviter les trous car c'est le remplisage automatique. Arrivé au drossage, julie en a profité pour allé faire la salamande sur la parois
, mais pas de cons.quence, j'ai récupéré son bateau un peu plus loin. Ce qui fait bien, c'est de commencer le rapide à droite et de le traverser en diagonale vers la gauche pour effectuer un arrêt contre courant en amont du drossage. Par la suite, un petit bac et c'est passé.
Après le drossage, il y a quelques bonnes passes, Julie en a encore profité pour pratiquer ses techniques de nage en rapide
.
Au début de la journée, sa été plus fort que moi et j'ai joué dans les rapides au lieu d'économiser mes forces et j'en ai payé le prix à la fin de la journée, je suis arrivé raide mort au camping.
J'ai bien aimé mon zoom dans les gros rapides, mais je me suis fait surprendre 2 fois et j'ai été obligé d'esquimauter, très pratique pour éviter de longue nage. Quand j'ai essayé de descentre certains gros trous, j'ai mangé toute la vague en pleine face, en plus de remplir le bateau, sa brake direct sur le top de la vague et à chaque fois, je me suis viré dans la vague suivante. Me semble donc que mon déto se remplissait mais que je ne mangeait pas la vague en pleine face. Après 2 fois, un homme comprend et j'ai travaillé plus en finesse dans les trains de vagues suivant.
Bref, une belle journée, définitivement que la descente se fait mieux par petit groupe, à 16 heures environ, les canots étaient sur la voiture et nous étions sur le chemin de retour